Depuis quelques décennies, tout doucement, insidieusement, sournoisement, on transforme l’institution d’éducation en institution de reproduction du système.
Autrement dit, la machine universitaire et scolaire ne fabrique plus que des bipèdes qui ne doivent plus avoir d’autres soucis que de maintenir le marché libre et autorégulé. Maintenir cette mécanique à production et multiplication de l’argent.
Le seul but actuel de ce qu’était la puissance et la richesse d’une république est de former des « employables ». C’est horrible et criminel !
Je ne pense pas qu’aujourd’hui les Victor Hugo, les Verlaine et Socrate seraient possibles. On ne forme que des êtres dont le marché a besoin….C’est affreux et triste !