Assignation à résidence…

Le confinement, c’est mignon comme mot, c’est cosy ! On devrait plutôt employer enfermement forcé, assignation à résidence, privation de libertés, emprisonnement… Les énarques et autres technocrates savent détourner le vocabulaire et le transformer pour que les mots ne veulent plus rien dire. (On le voit avec complotiste, démocratie, fascisme, rouge-brun, ….) C’est une technique incontournable pour les pouvoirs pour poursuivre la manipulation des masses.

Puisque la communication est omniprésente, voire obscène, aujourd’hui, alors ils inventent depuis des décennies une novlangue destinée à nous matraquer des notions fumeuses, des expressions ambigües, des détournements de mots. Quelques exemples : démocratie participative, plan social à la place de plan de licenciement, personne fragilisée pour personne exploitée, discrimination positive, croissance négative,…. La liste est longue…

Mais revenons à nos moutons !

l’emprisonnement à domicile d’une population entière est la grande nouveauté et la grande avancée dans l’exploitation capitaliste. L’enjeu du confinement n’est pas sanitaire. Il est économique : c’est le marché de la vaccination qui consiste à vendre une population à des laboratoires. On se rappelle les millions de doses achetées par la France pour le virus H1 N1 (ou plus récemment, le milliard dépensé pour le Remdesivir du laboratoire Gilead une semaine avant l’évaluation négative de l’OMS sur l’efficacité de cette molécule). Mais une population qui, à plus de 50 % (selon les sondages commandés par le gouvernement), refuse le vaccin, ne représente pas un marché digne de ce nom. On nous a donc prévenus. En deçà d’un nombre suffisant de vaccinations, l’épidémie ne sera pas stoppée, et le confinement ne pourra pas être levé. Là est le chantage. Le peuple complotiste des mauvais citoyens sera le responsable du blocage de l’économie et de la liberté des citoyens dociles. La vaccination sera obligatoire ou ne sera pas.