Mon point de vue…après deux années…

J’admire les non-injectés pour avoir résisté à la plus grande pression de toute l’histoire de ma vie. Pression exercée de la part des états profonds aux ordres du gourou de Davos et des merdias asservis bien sûr, mais aussi de la part des médecins, des collègues de travail, de la famille, des amis et de la société en général.

Un grand respect donc à ces résistant(e)s d’aujourd’hui !

Les personnes qui ont été capables d’une telle personnalité, d’un tel courage et d’un tel esprit critique incarnent sans aucun doute le meilleur de l’humanité actuellement. On les retrouve dans tous les âges, dans toutes les couches sociales, dans toutes les régions, pays et continents. Ils ne sont ni de droite ni de gauche, ils sont d’un genre particulier, rare, en voie de disparition, ils sont les soldats héroïques d’une planète devenue individualiste, moutonnière et suiviste.

Ils sont là, à votre côté, extrémement minoritaires, la plupart du temps silencieux, contrairement aux conformistes et autres . Ils ont fait ce que les autres ne pouvaient pas faire, ils ont été l’arbre qui a résisté à l’ouragan des insultes, des humiliations, des discriminations. Ils pensaient être seul(e)s. ils ont subi l’exclusion sociale, ils ont été bannis de leurs familles. Certains ont perdu leur emploi, certaines ont laissé leur carrière sombrer, certains sans le sou, en ajoutant des dénonciations, des trahisons, des abandons.

Ce sont de véritables résistant(e)s, des femmes et des hommes, des vieux et des jeunes, des riches et des pauvres, de toutes races et de toutes religions et de toutes obédiences. Vous pouvez être fier(e)s, vous pouvez brandir le drapeau de la non résignation, l’étendard de la rébellion, le fanion de l’insoumission, la flamme vivante qui a dit non aux mensonges, non aux absurdités, non aux lobbies éhontés qui désormais dirigent la planète.

Vous êtes, nous sommes la tête haute d’une société qui a du mal à réfléchir par elle-même, une société qui ne sait plus dire non à la marchandisation des corps et bientôt des cerveaux.

Vous êtes, nous sommes la résistance à la fainéantise intellectuelle.

Vous êtes, nous sommes la dignité humaine et le rempart au chaos annoncé.

Nous sommes l’échaffaudage des prises de conscience, sans tapage, sans violence, sans véhémence. Restons dignes et fiers de cela et disons nous le car les autres ne vous le diront jamais.

J’écris ces lignes sans aucune animosité envers les injectés. La plupart s’est sentie obligée pour de multiples raisons justifiées (justifiables). J’écris ces lignes car il est difficile aujourd’hui de rendre hommage à ces nouveaux résistants sans se faire interrompre de suite. Il y a comme une injustice de ne pouvoir communiquer tant les médias aux ordres ne donnent plus la parole qu’à la voix de son maître. Je n’oublierai jamais !